top of page

La montagne est une source d’inspiration infinie. Majestueuse, silencieuse, sculptée par le vent et le temps, elle est une œuvre d’art à elle seule. Avec ma collection Mountains, j’ai voulu capturer cette force brute et la traduire dans un matériau à la fois fragile et puissant : le papier.


Seceda - Les Dolomites - Italie
Seceda - Les Dolomites - Italie

Pour cette collection, j’ai puisé dans la grandeur des Rocheuses canadiennes, la verticalité sculpturale des Dolomites et la beauté sauvage des Alpes du Sud. Trois massifs, trois atmosphères, une même fascination pour ces paysages bruts, minéraux, imposants.



Dans mes sculptures, les ombres et la lumière redessinent sans cesse les crêtes et les vallées, comme si le relief évoluait avec le temps et l’angle du regard. Le blanc devient une neige éternelle, une roche figée dans le mouvement, une invitation à la contemplation.


Rockies Mountains N°1 & N°2 & N°3
Rockies Mountains N°1 & N°2 & N°3

J’ai voulu une approche épurée et sensorielle, où chaque relief semble taillé dans la matière avec la précision d’une crête acérée ou la douceur d’une pente enneigée. Chaque sculpture capte la lumière différemment, comme une montagne change de visage selon les heures du jour.

Les œuvres de la collection Mountains ne sont pas une simple évocation des sommets : elles en sont une réinterprétation poétique, une immersion dans un monde de calme, de force et d’évasion.



Comme un paysage qui ne cesse de se transformer, chaque sculpture vit avec son environnement. À la lumière du matin, elle est douce et apaisante. En fin de journée, les ombres s’intensifient, révélant des reliefs insoupçonnés.

Découvrez ma collection "Mountains" sur mon site : veroniqueguillou.fr



Que vous évoque cette collection ? Plutôt Dolomites, Rocheuses ou Alpes du Sud ? Partagez vos impressions en commentaire !


VERONIQUE GUILLOU - Sculptrice Papier

 
 
 

DÉCEMBRE 2024 - Art & Décoration
DÉCEMBRE 2024 - Art & Décoration

MONOCHROMES DE PAPIER

Les sculptures de Véronique Guillou évoquent la beauté de la nature. Avec une grande poésie, chaque oeuvre métamorphose et ennoblit le papier en une matière aérienne.


Véronique Guillou a déjà eu plusieurs vies. Longtemps directrice artistique en agence, elle profite de la période Covid pour se consacrer à l’art du papier. Après plusieurs essais avec des matériaux de récupération ou du carton, la sculptrice finit par adopter un papier blanc lumineux. Immaculés et uniques, ses oeuvres deviennent tableaux, bas-reliefs ou plafonds. Réalisée avec la technique du collage, chaque pièce réinvente le blanc universel et intemporel. Pour l’artiste « seul le blanc restituent les volumes tant on peut y jouer avec les ombres et la lumière ». Inspirée par la nature et sa défense, de simples détails, un visage ridé ou la peau plissée d’un éléphant, peuvent faire naître une envie. La création de chaque tableau est instinctive avec des volumes qui naissent sous ses doigts, en malaxant, déchirant, découpant et enroulant ses papiers pour en faire les multiples pièces d’un tout. Seule couleur envisagée, l’or pour la lumière qu’il apporterait, et son côté précieux et raffiné. Et demain? Concevoir des tableaux pour des hôtels ou des sculptures pour des vitrines en transformant son matériau en décor raffiné serait un vrai challenge. Une création aussi poétique qu’engagée.

Anne Prudhomme-Béné


ree


Quelques commentaires...

Véronique Guillou, l’élégance du papier en lumière

"Lire l’article d’Anne Prudhomme-Béné dans Art et Décoration (décembre 2024) m’a plongé dans l’univers fascinant de Véronique Guillou. Ses sculptures en papier sont une ode à la nature et à la lumière, jouant avec les ombres pour révéler une beauté intemporelle.

Ce qui frappe dans son travail, c’est l’épure. Son choix du blanc n’est pas un hasard : il magnifie les reliefs, sublime les textures et donne à ses œuvres une profondeur presque spirituelle. Chaque création semble suspendue dans le temps, légère et pourtant incroyablement structurée.

L’histoire de son parcours, marquée par une reconversion audacieuse et une recherche constante de perfection, ne fait qu’ajouter à la force de son travail. Son approche instinctive du papier, qu’elle plie, déchire et façonne avec une maîtrise délicate, témoigne d’un rapport presque organique avec la matière. L’évocation de ses futurs projets, entre collaborations avec des hôtels et installations pour des vitrines de luxe, montre combien son art a toute sa place dans les espaces les plus raffinés.

Véronique Guillou ne sculpte pas seulement le papier, elle sculpte la lumière et le silence. Une artiste à suivre avec émerveillement."



Véronique Guillou, la poésie du papier sublimée

" Il est rare de croiser un travail aussi délicat et puissant que celui de Véronique Guillou. Ses sculptures en papier captent la lumière, jouent avec les ombres et nous transportent dans un univers de pureté et de légèreté.

Dans l’article paru en décembre 2024 dans Art et Décoration, j’ai découvert une artiste dont la maîtrise du papier dépasse la simple technicité : elle donne une âme à cette matière éphémère, la fige dans le temps tout en préservant son élégance fragile.

Sa collection Les Nymphéas en est l’exemple parfait : un hommage vibrant à la nature, où chaque pli, chaque découpe évoque le mouvement fluide de l’eau et la délicatesse des pétales. Ce qui frappe aussi, c’est son engagement pour une approche responsable : chaque feuille de papier est sélectionnée avec soin, et son processus créatif privilégie le recyclage et l’upcycling.

Dans cet article, on perçoit toute l’exigence et la passion qui animent son travail.

Véronique Guillou ne se contente pas de sculpter le papier, elle lui insuffle une émotion rare. Son art est une invitation à la contemplation, une respiration, un instant suspendu. Un talent à suivre de près !"

 
 
 

Dans mon atelier, le papier devient lumière, mouvement et poésie. Ma collection Nymphéas est une ode à la nature, une interprétation contemporaine du chef-d’œuvre de Claude Monet. Fascinée par son jeu de reflets et de textures dans les jardins de Giverny, j’ai voulu retranscrire cette impression d’eau en perpétuel changement, où l’ombre et la lumière dansent sur les surfaces.


Jardin de Giverny
Jardin de Giverny

Du Jardin de Monet à la Sculpture de Papier

Monet peignait ses Nymphéas comme un dialogue entre l’eau, le ciel et la végétation, capturant des instants fugaces de lumière. Dans mes œuvres, je cherche à retranscrire cette même sensation d’éphémère et de profondeur. Mais au lieu des couleurs vibrantes, je choisis le blanc, cette teinte caméléon qui s’adapte à son environnement et révèle des nuances infinies sous l’effet de la lumière.

Chaque pièce de la collection joue avec les reliefs et les ombres, créant un univers aérien et immersif. Les sculptures flottent sur leur support, comme des pétales sur l’eau, et leur texture délicate invite le regard à s’attarder, à explorer.



Des Œuvres Inspirées par la Nature

Certaines œuvres emblématiques de ma collection, comme "Hymne au Printemps", évoquent directement la sérénité des bassins de Giverny. Chaque élément est façonné avec minutie, comme une empreinte poétique de la nature, un instant suspendu entre abstraction et réalisme.

À travers cette collection, je rends hommage à l’impressionnisme en volume, où chaque relief capte la lumière différemment, offrant une nouvelle perception selon l’heure du jour et l’angle de vue.



Une Invitation à la Contemplation

Les Nymphéas de Monet étaient un refuge, un monde où l’on se perd dans la beauté du détail et du flou maîtrisé. Avec cette collection, je propose une expérience sensorielle, une pause hors du temps où le papier devient un écho silencieux de la nature.



Découvrez les œuvres de ma collection "Nymphéas" sur mon site : veroniqueguillou.fr


Et vous, que vous inspire cette collection ? Partagez vos impressions en commentaire !


VERONIQUE GUILLOU - Sculptrice Papier

 
 
 
bottom of page